Les légendes d'In Aeternum

Place de la Torture, jour de marché, Srambad



" Hey vous là ! Oui toi là, approche mon enfant ... Que cherche tu ici disciple de Cra ? Ne serais tu qu'une Douzienne avide de fortune et de gloire comme les autres imbéciles que je vois passer nuit et nuit devant mon étal ? Ou bien comme je le décèle dans ton regard, une aventurière avisée qui reconnait en moi l'initiateur d'une quête qui pourrait t’amener à rencontrer tes Dieux en personne ?

Gnih Hih Hih, je le savais mon enfant ! Accoude toi donc quelques instant à mon comptoir et regarde ce que j'ai déniché pour toi. Sache que j'ai du braver des chimères maléfiques, ramper dans la fange et le purin, assassiner frère et sœur tout en vendant père et mère afin de mettre la main sur ce grimoire maudit. La trace sanglante qu'il à laissé dans son sillage aurai de quoi t’impressionner mon enfant ! On raconte que Goultard lui même l'aurait eu en sa possession lorsqu'il fut maudit et tua sa femme adorée...

Mais je m'égare mon enfant ! Sache qu'il n'est pas dans mes intentions de t'embobiner avec mes histoires afin de te rouler dans la farine, mais je voulais que tu sois contient de ce que tu pourrais découvrir si tu décide de franchir le pas...
Pourquoi toi mon enfant ? Ne l'ai je pas dis ? Nos regards se sont croisés dés que tu es entrée sur le marché. Le destin nous a réuni et je ne veux m'opposer à sa force. Prends ce grimoire mon enfant, sois forte ..."


A l'instant ou le marchand pose le livre dans la main du Crâ, son échoppe et lui même disparaissent dans une brume placide qui se confond peu a peu avec les émanations verdâtres de Srambad


De retour dans son monde, installé à la taverne du Feubuk, dans un recoin sombre de l'établissement, la Crâ ouvre le grimoire à la première page. Le livre s'entrouvre délicatement lorsque surgit une lumière aveuglante. Devant ses yeux éblouis, la Crâ voit apparaitre petit à petit des lignes d'encres qui se dessinent.  




La Crâ refermât le livre après un instant de choc. Dans l'auberge, le temps était suspendu, on pouvait apercevoir les gouttes de bières qui gouttait des moustaches du client accoudé au comptoir, comme figé en suspension.

Puis Brusquement le temps repris son cours, personne n'ayant remarqué le manège qui s'était déroulé.




10 MOIS PLUS TARD


La Crâ avait traqué la bête depuis des mois. Elle avait enquête pendant des jours, suivit des pistes obscures et des légendes que l'on pensait oubliées, défendu sa peau dans les pires endroits du monde, vaincu le terrible Comte Harebourg lors d'une bataille aux cotés des Gardes du Jour ... Mais aujourd'hui elle touchait au but. Les rapports qu'elle avait reçu des espions d'Allister était formel, " quelque chose de maléfique règne dans le village d'amakna. 3 disparitions en 1 semaine, et des témoignage apercevant un homme a moitié fou déambulant dans les rues à la nuit noire ".

La Crâ devait rejoindre son partenaire Aorangi qui était partit en tête il y a 2 jours, afin de préparer le terrain et sécuriser un avant poste discret. Lorsque la Crâ arriva au point de rendez vous, son partenaire gisait à terre, la tête enfoncé avec une marque de paume si impressionnante que la sueur froide dégoulinât comme une lame mortelle dans son dos. Entre le poing serré de son ami, un bout de papier froissé ...



La Crâ ne pris pas la peine de jeter un regard en arrière en fermant la porte. Elle ne pris pas la peine de sécher les larmes qui coulaient le long de ses joues. Elle savait ou aller.




* J'étais complétement foncedé et j'avais envie d'écrire un truc *

Tu es plutôt contradictoire. Tu souhaites n'avoir plus aucun rapport avec nous et tu continues à aller sur le forum de cette guilde que tu détestes, c'est pas très logique.

Pour les MPs ça a été mis au clair, tu n'en recevras plus de notre part. Sache néanmoins que Keh et Maekas souhaitaient vraiment comprendre les évènements vu qu'ils n'étaient pas présents.

Pour le post de Sala il précise bien qu'il était dans un état second, tu nous en as assez parlé pour qu'on soit sur que tu comprennes cet état d'ailleurs. Il ne t'est pas destiné mais bien à nous.

Et on te fout la paix, on est chez nous là, c'est toi qui t'invites.

Je ne l'aurai pas mieux dis Lenzyy.

Pour ce qui est de toi viscardy, tu n'as que ce que tu mérites (d'autant plus que je sais très bien que sala n'a pas fait ça pour être méchant), tu veux faire parler de toi et quand ca arrive tu fais genre tu veux plus et t'es une victime de harcèlement...
Bref, trace ta route garçon.

Bon Sala c'était pas ultra malin d'taper ca, même si plutôt drôle

Pour Visca, lenz a très bien répondu: si tu en es a nous haïr, ne viens plus ici!

Du coup j'ferme vu que rien de constructif ressortira.